Bofrost : une campagne en deux temps
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« Nous gérons les campagnes d'appels entrants de la marque allemande de
produits surgelés, Bofrost, explique Frank Buratto (ESDI). La première étape,
c'est de faire une extraction d'une zone de chalandise dans la base de notre
client et de vérifier, au fur et à mesure de la campagne, quelles sont les
remontées terrain. En fonction des objectifs impartis, du nombre de contacts
argumentés décidés, du secteur, etc. » Grâce à cette méthode, ESDI met, très
rapidement, en évidence tout problème de ciblage. Ses téléacteurs attaquent un
secteur donné, afin de remplir le carnet de commandes du client et lui
permettre, en particulier, de rentabiliser au mieux ses livraisons. « Lors du
premier contact téléphonique, nous vérifions quelques éléments indispensables.
Par exemple, il nous faut très vite savoir si la personne possède un
congélateur Et ce genre de données n'apparaît pas encore dans les fichiers de
l'Insee ! »Quand le prospect est dans la cible, ESDI lui fait parvenir le
catalogue de produits de la marque. Quatre à cinq jours plus tard, un
téléacteur le rappelle pour regarder avec lui la brochure et réaliser la
commande. En moyenne, sur dix contacts, ESDI parvient à envoyer trois
catalogues. Et, sur trois envois, le prestataire réalise une vente. Des
chiffres qui, aux dires de Franck Buratto, traduisent un vrai succès. «
D'abord, ces produits sont de qualité. Ils possèdent une image haut de gamme
qui les distingue des chaînes concurrentes. De manière générale, le taux moyen
de remontées, sur ce type d'opérations est de l'ordre de 10 %. Comparé au
retour d'un simple mailing, le téléphone apporte une vraie plus value. »