Les 7 arguments pour faire du SMS l'alternative à l'impression des tickets de caisse

Depuis le 1er août, la loi AGEC (loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire) a mis un terme à l'impression automatique des tickets de caisse. On estime que 30 milliards de tickets sont imprimés chaque année, et qu'ils terminent majoritairement... à la poubelle.

Si beaucoup de clients pourront encore demander l'impression à la demande d'un ticket de caisse, cette loi est néanmoins une opportunité pour accélérer la transition digitale des commerçants. Les alternatives sont déjà nombreuses : QR code pour ouvrir une page web, courrier électronique, notification dans son application mais également... le SMS, un canal présentant de nombreux avantages. Voici les 7 arguments en sa faveur.

Le client peut saisir son numéro de téléphone sur un terminal de paiement

Pour recevoir un SMS, le consommateur peut utiliser le terminal de paiement, sur lequel il tape déjà son code bancaire, pour saisir son propre numéro de téléphone mobile. Cette saisie se fait ainsi en toute discrétion pour les consommateurs et permet aux commerçants de capitaliser sur un équipement existant, sans avoir à opter pour un clavier alphanumérique ou une tablette. Selon une étude Perifem, 63 % des Français refusent en effet de dicter leur numéro à l'oral à un commerçant, pour des raisons de confidentialité.

Le SMS est simple, universel et affiche d'excellentes performances

Le SMS est une technologie universelle, compatible avec tous les opérateurs, tous les abonnements (avec ou sans data) mais surtout tous les modèles de téléphones mobiles, quel que soit le constructeur ou le système d'exploitation. Les clients n'ont pas à installer une "application", ni à activer de "push notification". Cette universalité permet au commerçant d'être certain que le SMS sera reçu par ses clients, mais également probablement lu. Ce format bénéficie en effet de taux d'ouverture particulièrement élevés, de l'ordre de 98 %, à mettre en perspective avec... les 20 % observés avec le courrier électronique.

L'enseigne peut afficher l'intégralité d'un ticket en 1 clic

Grâce à la fonctionnalité RichSMS, le SMS peut facilement inclure une URL permettant d'ouvrir une page web. Cette page web peut inclure toutes les informations obligatoires du ticket de caisse telles que le nom de l'émetteur, la date, le montant payé et le détail des articles achetés, mais également renvoyer ensuite vers d'autres contenus en ligne, tels que le site de l'enseigne.

Le client peut répondre à l'enseigne ou l'appeler depuis un même numéro

Avec Time2chat, la nouvelle solution de business messaging des opérateurs français, le SMS est désormais bidirectionnel et multimodal (texte, voix). Depuis un seul et même numéro, l'enseigne peut ainsi envoyer le ticket de caisse, répondre à n'importe quelle demande de ses clients, à l'écrit... ou à l'oral mais également récupérer un consentement explicite (opt'in) au cours d'une conversation SMS.

Des échanges facilités avec l'enseigne

Puisqu'elle signe ses SMS avec son nom complet, l'enseigne peut inciter ses clients à ajouter ses coordonnées au carnet d'adresses de leur téléphone mobile. Ainsi, le contact de l'enseigne sera facilement retrouvé par le consommateur depuis de nombreux points d'accès dont son Inbox SMS, ses contacts ou les recherches. Cet ajout facilite ainsi une nouvelle prise de rendez-vous ou une nouvelle commande.

La réception du ticket peut être une invitation pour rejoindre le programme de fidélité

La réception d'un ticket de caisse par SMS peut également être l'occasion pour le commerçant de proposer aux consommateurs de rejoindre un programme de fidélité au cours de la conversation SMS. En cas de consentement (opt'in), le consommateur pourra ensuite recevoir des SMS promotionnels, éventuellement personnalisés, ou accéder au catalogue digital de l'enseigne, en Rich SMS ou en RCS.

Le SMS est 100 fois moins polluant que le courrier électronique

Enfin, rappelons que le SMS est écologique. Selon une étude réalisée par Mike Berners-Lee, son empreinte carbone est près de 100 fois inférieure à celle d'un e-mail, ce qui ne manquera pas d'intéresser les enseignes soucieuses de réduire leur empreinte carbone, mais également de séduire les consommateurs les plus engagés dans la préservation de l'environnement.