Les outsourcers face à la problématique du recrutement
Philippe Clogenson (Bertelsmann Services)
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QUESTION 1
Le marché du recrutement est plus tendu
qu'auparavant du fait de la reprise économique. Les candidats sont donc plus
exigeants et les entreprises doivent faire davantage d'efforts pour les
attirer, les convaincre et surtout les fidéliser. La Province est certainement
moins concernée que Paris/région parisienne par cette tendance. Néanmoins, les
entreprises doivent déployer davantage d'efforts pour conclure avec des
candidats ayant des profils pointus, spécialisés, multilingues et
expérimentés.
QUESTION 2
Les bilingues.
QUESTION 3
Annonces en presse régionale, ANPE (méthode
Lemoine), intérim, sites de recrutement (Stepstone, Monster, etc.).
QUESTION 4
La politique de rémunération et la gestion
de carrière sont deux aspects importants sur lesquels les entreprises doivent
réfléchir pour pouvoir proposer des solutions concrètes dans un avenir proche
car ces métiers, liés au développement des centres d'appels, sont réellement de
vrais métiers "naissants" où tout reste à faire en termes de pérennisation.
Bernard Caïazzo (Call Center Alliance)
QUESTION 1
Il y a une quinzaine d'années, le
télémarketing était considéré comme un job d'appoint, les candidats recrutés
étant en majorité des étudiants avec des contrats vacataires. La notion de
métier n'était pas assimilée, et encore aujourd'hui, bon nombre de sociétés
proposent des contrats à la vacation. En très peu de temps, nous avons constaté
une forte émergence de sociétés de télémarketing et par conséquent une offre
supérieure à la demande. Parallèlement à cette émergence des centres d'appels,
les domaines d'activité se sont diversifiés : bancaire, assurances... Ajoutons
une prestation de plus en plus qualitative, une clientèle devenue plus
exigeante, des salaires plus élevés et des CDD évoluant vers un CDI. Dès lors,
beaucoup de candidats - les meilleurs - se sont tournés vers les agences
d'intérim ou vers l'annonceur. Autre facteur d'explication : l'image des
centres d'appels, souvent encore comparés à des "usines" sans considération
pour les ressources en production. Face à cette profusion de centres d'appels
sur fond de croissance économique, nous assistons à un changement radical de la
mentalité des candidats : aucune implication personnelle, aucune motivation,
aucune fiabilité... Mais la pénurie est essentiellement sur Paris/région
parisienne. La stratégie de CCA est de développer les centres à forte valeur
ajoutée sur Paris (web call center, santé, high tech...). Les autres
applications sont traitées en région. En mars 2000, 80 % des activités de CCA
étaient sur Paris. En mars 2001, seulement 30 % alors que notre chiffre
d'affaires a doublé. En mars 2002, Paris représentera 10 % de nos activités,
alors que notre chiffre d'affaires aura encore doublé.
QUESTION 2
Les bons profils se font rares, spécialement chez les
télévendeurs, qui imposent leurs conditions, exigent un salaire trop élevé et
des conditions de travail que les centres d'appels en général n'offrent pas.
Les centres d'appels sont prestataires de services et soumis aux conditions
imposées par le client. Il est rare qu'une société embauche directement un très
bon profil en CDI, et à un salaire "alléchant" ; il faut toujours une période
probatoire. Dans notre métier, la réactivité prône avec l'efficacité. Un centre
d'appels devrait répondre à une demande de personnel dans les délais impartis
par le client. La valeur ajoutée d'un centre d'appels sera mesurée par rapport
à sa réactivité et à la qualité de ses prestations, qualité qui passe par un
recrutement de bons profils, et la fidélisation des candidats.
QUESTION 3
Nous sommes sur un marché en plein essor,
qui évolue avec les nouvelles technologies. Nous devons nous adapter à la donne
internet pour notre plan de communication. Les annonces institutionnelles
devraient être accompagnées d'annonces via mail, sans oublier les forums, les
salons, la cooptation, les candidatures spontanées, les écoles... Au niveau des
annonces presse, il faut instaurer une véritable identité pour l'entreprise
(image). Le plan de communication doit éviter les annonces au coup par coup, se
programmer annuellement.
QUESTION 4
Les entreprises
s'accordent à dire que la priorité doit être donnée à une bonne gestion des
ressources humaines : valorisation du salarié, gestion des carrières. Le
recrutement d'un chargé de clientèle est avant tout basé sur la personnalité,
ou l'expérience s'il s'agit d'un candidat confirmé. Il faudra de plus en plus
recruter des profils à potentiel et les former. Les centres d'appels devraient
faire un investissement sur du long terme avec leurs chargés de clientèle, les
initier au métier, leur inculquer la notion de culture d'entreprise, et bien
sûr préparer avec eux un plan de carrières, tout en se basant sur leur
formation initiale, par le biais de bilan de compétences..., ou d'entretiens
individuels... Il faudra également recruter les jeunes étudiants en fin de
cursus et les intégrer, les former au métier.
Marc Verdet (Ceritex)
QUESTION 1
Clairement, la
reprise économique au cours des derniers mois a modifié le marché du travail de
façon très drastique. Nous avons ressenti, en termes de recrutement, des
difficultés croissantes tout au long de l'année avec un point culminant sur les
mois de novembre et décembre. Nous recrutons en règle générale une proportion
importante de personnes dont c'est le premier emploi ou qui sont inscrites à
l'ANPE. Aussi, lorsque le taux de chômage diminue, c'est bien sûr notre
première source de recrutement qui se tarit.
QUESTION 2
Les profils les plus rares seraient pour nous les hot liners de
type help-desk informatique. Lorsqu'ils ont une formation informatique, nous
avons du mal à les retenir. Ils apprennent leur métier chez nous et, après
quelques mois de pratique, ils reçoivent des offres d'emploi de la part de SSII
ou de sociétés spécialisées qui leur offrent des emplois plus traditionnels.
QUESTION 3
Les supports presse traditionnels sont de
moins en moins efficaces. Nous devons faire preuve de créativité pour attirer
les meilleurs candidats. En fait, nous passons d'une logique de sélection de
candidats à une logique de séduction des candidats. Jusqu'à présent, il fallait
que les candidats réussissent à nous convaincre de leurs capacités
professionnelles et humaines. Désormais, les meilleurs d'entre eux ont
plusieurs offres dans la poche quand ils viennent nous voir. C'est une relation
nouvelle qui change la culture de notre service de recrutement. Nous avons fait
une démarche lourde d'étude et de benchmark pour nous remettre en question et
optimiser notre efficacité. Nous avons désormais une meilleure vision des
attentes du marché du travail.
QUESTION 4
Pour
l'avenir, il est évident que la problématique RH sera un des points les plus
critiques dans notre domaine d'activité. Nous devons tous travailler ensemble
pour changer l'image trop souvent négative qui est attachée aux centres
d'appels. C'est de cette façon que l'on pourra résoudre cette question. Pour
notre part, il y a déjà quelques années que nous cherchons à fidéliser le
personnel. Nous mettons en oeuvre aujourd'hui des modes de gestion de plus en
plus participatifs avec nos téléconseillers et nous créons des filières
d'évolution structurée au sein de nos plateaux. Tout ceci s'accompagne d'une
politique sociale ouverte et d'un vrai dialogue avec les représentants du
personnel.
Olga Philippe-Damiron (Convergys)
QUESTION 1
Dans un premier temps, cette pénurie doit
s'analyser en fonction des facteurs géographiques. En effet, elle est d'un
degré moindre en province dans les villes moyennes qu'à Paris, Lyon ou des
villes très typées "centres d'appels" comme Poitiers qui est complètement
saturée. Ensuite plusieurs facteurs contribuent à créer la pénurie. - L'image
encore négative auprès du grand public de l'activité (exemple : les réunions
d'information dans les ANPE sur le thème des centres d'appels n'attirent
personne), alors que les embauches se font quasi systématiquement en CDI, à
temps complet avec formation longue, plans de carrière clairs, mobilité
interne, conditions de travail en constante amélioration. - La surenchère
existant entre les prestataires de services et les sociétés dites "annonceurs"
puisque les secondes peuvent proposer des salaires plus attractifs - avec,
souvent, des opportunités de carrière moindres. De plus, ces dernières passent
des annonces presse sous leur logo, donc en capitalisant sur une image de
marque alors que les prestataires ne peuvent dévoiler le nom du client pour
lequel ils recrutent (attraction moindre du visuel, marque employeur moins
connue). - La méconnaissance des formations diplômantes existant aujourd'hui
sur le marché et développées avec l'Education nationale elle-même (obtention
d'une mention complémentaire Bac + 1 en test actuellement auprès de cinq
académies). - La problématique des horaires : de plus en plus de clients ont
des produits ou services qui demandent des horaires de soirée plus le samedi.
Les contraintes personnelles et professionnelles ont alors bien du mal à se
rejoindre.
QUESTION 2
Les profils de vendeurs conseil
en informatique, de type BTS en électrotechnique ou autres. Ceux-ci bénéficient
actuellement d'un marché de l'emploi informatique particulièrement porteur qui
les incite à rechercher des emplois dans des SSII, et à réclamer des salaires
qui sont hors de proportion avec notre métier...
QUESTION 3
Les supports presse classiques sont encore porteurs mais doivent
être orientés vers la proximité. Ainsi, les médias locaux sont à privilégier
car Le Figaro est noyé d'annonces dans le domaine des centres d'appels et, à
moins d'avoir un budget plus que conséquent permettant la présence simultanée
sur plusieurs pages, on a peu de chance d'être lu si l'on n'est pas dans les
deux ou trois premières pages. Le couplage presse et Internet est intéressant
mais les prix pratiqués par les leaders jobpilot ou monster sont totalement
prohibitifs et ne rendent pas à la hauteur de l'investissement. Les sites plus
"proches" du public et des jeunes, comme les sites de musique et les portails
sont plus pertinents. Nous avons testé le support télévision avec MCM avec
succès mais n'avons pas eu l'occasion de réitérer. Nous avons quelques
partenaires intérim dont Fiva ou Manpower sur des opérations ponctuelles
d'envergure. Le recrutement lié à des événements sportifs ou médiatiques est à
envisager de plus en plus.
QUESTION 4
L'évolution se
fera vers la différenciation des offres des annonceurs et des prestataires de
services, vers la proposition non plus d'un poste mais d'une structure de vie
et de réalisation de projets professionnels, de croissance de l'individu avec
l'entreprise. Le recrutement continuera d'être très difficile sur les grandes
villes et l'avenir des centres d'appels est à la décentralisation en province,
au recrutement de proximité.
Anne Bendler Groupe H2A
QUESTION 1
La demande est importante. Mais, il s'agit
essentiellement de travaux fatigants. Qui sont généralement confiés à de jeunes
gens qui ne sont pas encore toujours stabilisés professionnellement. Ce, pour
des postes où il est souvent nécessaire de faire preuve d'une grande
réactivité. Enfin, il est possible aujourd'hui pour les salariés de mettre fin
à des contrats et de bénéficier des Assedic.
QUESTION 2
Sans hésitation, les vendeurs. Parce que la vente par téléphone,
c'est un métier difficile. Et que ceux qui ont une bonne expérience
professionnelle préfèrent généralement évoluer dans des structures plus
"classiques". Par ailleurs, les vendeurs à distance, dans des sociétés de
sous-traitance comme les nôtres, n'ont pas véritablement de retour quant à leur
travail. Ce qui n'est pas motivant.
QUESTION 3
Nous
avons des recettes, des astuces. Et nous dépensons beaucoup d'argent. Quant au
détail de notre politique, c'est top secret. C'est le nerf de la guerre.
QUESTION 4
Malheureusement, je pense que l'on verra
arriver dans les mois qui viennent beaucoup de monde sur le marché du travail.
Cette poussée de la demande sera l'effet direct de la vague de plans sociaux
qui s'amorce aujourd'hui dans l'économie "traditionnelle". Ajoutons à cela la
débandade dans la sphère de la nouvelle économie. Nous ressentons déjà ce
phénomène, ne serait-ce que par l'augmentation du nombre de candidatures
spontanées que l'on nous adresse. Notamment du fait d'informaticiens, alors
qu'il s'agit d'une population qui, depuis 1998, ne souffrait vraiment pas d'une
pénurie d'offre. D'autre part, il ne faut pas oublier que les premiers
"emplois-jeunes" vont arriver, après la fin de leur contrat de cinq ans, sur le
marché du travail. Ce qui représente un potentiel de plusieurs centaines de
milliers de personnes.
Christophe Collignon (IMA Technologies)
QUESTION 1
Les centres
d'appels ne réunissent pas que des avantages et ont assez mauvaise presse. En
effet, ils symbolisent pour les candidats une forme de cette révolution de
l'organisation du travail que vivent nos sociétés. En cela, ils font l'objet de
critiques qui correspondent à la peur du changement. La diabolisation de ces
nouveaux entrants sur le marché du travail est tentante, d'autant plus que les
dérives existent, et les candidats potentiels sont particulièrement sensibles à
cette critique. Parallèlement, les centres d'appels sont comme toute les
sociétés de main d'oeuvre : la qualité de leur organisation et leur politique
d'emploi garantira leur attractivité. Il leur faut être attractifs, ne pas
faire fuir les équipes en place, tâcher d'élargir le spectre de leur
recrutement, ne pas rechercher des clones. En effet, dans un marché du centre
d'appels en forte croissance, il est illogique de rechercher des ressources
ayant une expérience équivalente, sinon à les débaucher avec les surcoûts et le
risque de non-qualité que cette démarche implique.
QUESTION 2
Nous avons quelques difficultés avec les techniciens help-desk
informatique, pour une raison de forte tension sur l'ensemble de ce marché.
Bien sûr pour les superviseurs et encadrants, nous ne cherchons plus des
spécialistes du centre d'appels mais également des expériences d'encadrement en
grande distribution, industrie, hôtellerie, etc.
QUESTION 3
L'ensemble de nos recrutements passe par des cabinets
spécialisés. Nous sommes également présents dans les facultés et écoles de
Nantes. Nous passons toutes nos annonces dans la presse régionale, et sur le
Net. Nous n'avons pas de budget spécifique alloué.
QUESTION 4
Bien sûr, avec la baisse du chômage, une période difficile pour
le recrutement s'annonce. La politique et l'ambition sociale des sociétés
seront leur gage de réussite.
Eric Dadian (Intra Call Center)
QUESTION 1
- Mauvaise image de
ces métiers de la relation client qui n'attirent (surtout dans les grandes
villes) que des jobs complémentaires. - Peu de préparation en amont de la part
des grandes entreprises pour vendre en interne ces métiers. - Les acteurs
publics (ministère de l'Education, universités) n'ont pas su anticiper ces
nouveaux métiers ; seules certaines collectivités locales organisent toute une
filière de recrutement/formation au travers de formations spécifiques et
diplômantes.
QUESTION 2
Managers, superviseurs, hot
liners, téléconseillers capables de gérer d'autres médias que le téléphone
(e-mail, chat, web call center), téléconseillers multilingues. Parce que le
système éducatif français n'a pas anticipé la demande des entreprises.
QUESTION 3
En province, nous travaillons en amont avec
les agences de recrutement nationales ANPE, PLIE (plan local d'insertion) et
les écoles et universités.
QUESTION 4
Les grands
villes vont connaître les mêmes surenchères qu'en Irlande (augmentation des
salaires et fort taux de turn-over) et un aménagement du territoire va
s'effectuer en France de façon naturelle car les entreprises vont rechercher
des villes aux bassins d'emploi "vierges" ou suffisamment "organisés".
Certaines villes moyennes font moins de marketing pour attirer des centres
d'appels, elles en ont suffisamment
Jacques Pitel (Stream)
QUESTION 1
- Mauvaise image du
centre d'appels en général. - Marché de l'emploi très mouvant. - Surenchère sur
les salaires dans les profils techniques.
QUESTION 2
-
Les profils techniques informatique et télécom.
QUESTION 3
- La cooptation. - Les sites web spécialisés. - 1 % du chiffre
d'affaires.
QUESTION 4
La priorité sera donnée par les
candidats de valeur aux entreprises capables de proposer un véritable plan de
carrière.
Emmanuel Mignot (Teletech International)
QUESTION 1
Remarque : les centres d'appels situés en
province (campagnes ou très petites villes), comme ceux de Teletech, n'ont
aucune difficulté de recrutement pour des profils "généralistes". Dans une
ville comme Laval où il y a peu de chômage, 60 % des demandeurs d'emploi sont
des jeunes femmes. Les facteurs d'explication à la pénurie dans les grandes
villes sont : - la mauvaise image de marque de ce secteur d'activité et le
manque de notoriété de ces métiers auprès des jeunes en formation initiale
(lycées, IUT, fac...), - les conditions de travail (charge mentale importante,
stress et horaires difficiles), - la politique sociale souvent inadaptée (CDD,
absence de formations, pas de perspectives de carrière, salaires faibles), - la
concurrence entre les centres situés dans une même ville : ceux qui offrent les
meilleures conditions attirent les salariés (phénomène identique à celui qu'a
connu l'Irlande).
QUESTION 2
Profils rares :
commerciaux et hotliners. Parce qu'ils trouvent du travail dans des secteurs
plus rémunérateurs et avec de meilleures conditions de travail !
QUESTION 3
- Bouche à oreille, cooptation. - Supports :
presse quotidienne régionale, Web. - Partenaires : ANPE, CCI, écoles, intérim,
collectivités locales (Villes, communautés de communes...). - Budget : environ
2 000 francs par téléopérateur recruté (y compris la session de recrutement).
QUESTION 4
Tout dépend de la tendance au niveau du
marché de l'emploi. A notre sens, il faudra recruter des personnes de niveaux
inférieurs pour les niveaux 1 et les former, les faire évoluer, les doter
d'outils (bases de connaissances) pour pallier un moindre niveau de compétence.
A ces niveaux 1, éventuellement délocalisés, s'associeront des experts, peu
nombreux mais mieux payés qui entretiendront les bases de connaissances et
assureront la formation. Le télé-enseignement se développera. Il faudra aussi
améliorer les conditions de travail, les salaires et les carrières pour être
plus attractifs sur du long terme et fidéliser les salariés.
Quatre questions aux outsourcers
Question 1 : « Quels sont, selon vous, les facteurs d'explication à cette pénurie que semblent rencontrer les responsables de centres d'appels en matière de ressources humaines ? » Question 2 : « Quels sont les profils qui se font aujourd'hui les plus rares ? Et pourquoi ? » Question 3 : « Quels supports de communication, quelles méthodes et quels types de partenaires privilégiez-vous pour vos actions et campagnes de recrutement ? Quel budget y allouez-vous ? » Question 4 : « Comment, selon vous, les problématiques de recrutement vont-elles évoluer dans l'avenir ? » Quatre questions aux outsourcers Question 1 : « Quels sont, selon vous, les facteurs d'explication à cette pénurie que semblent rencontrer les responsables de centres d'appels en matière de ressources humaines ? » Question 2 : « Quels sont les profils qui se font aujourd'hui les plus rares ? Et pourquoi ?» Question 3 : « Quels supports de communication, quelles méthodes et quels types de partenaires privilégiez-vous pour vos actions et campagnes de recrutement ? Quel budget y allouez-vous ? » Question 4 : « Comment, selon vous, les problématiques de recrutement vont-elles évoluer dans l'avenir ? »
Quatre questions aux outsourcers
Question 1 : « Quels sont, selon vous, les facteurs d'explication à cette pénurie que semblent rencontrer les responsables de centres d'appels en matière de ressources humaines ? » Question 2 : « Quels sont les profils qui se font aujourd'hui les plus rares ? Et pourquoi ? » Question 3 : « Quels supports de communication, quelles méthodes et quels types de partenaires privilégiez-vous pour vos actions et campagnes de recrutement ? Quel budget y allouez-vous ? » Question 4 : « Comment, selon vous, les problématiques de recrutement vont-elles évoluer dans l'avenir ? »
Quatre questions aux outsourcers
Question 1 : « Quels sont, selon vous, les facteurs d'explication à cette pénurie que semblent rencontrer les responsables de centres d'appels en matière de ressources humaines ? » Question 2 : « Quels sont les profils qui se font aujourd'hui les plus rares ? Et pourquoi ? » Question 3 : « Quels supports de communication, quelles méthodes et quels types de partenaires privilégiez-vous pour vos actions et campagnes de recrutement ? Quel budget y allouez-vous ? » Question 4 : « Comment, selon vous, les problématiques de recrutement vont-elles évoluer dans l'avenir ? » Quatre questions aux outsourcers Question 1 : « Quels sont, selon vous, les facteurs d'explication à cette pénurie que semblent rencontrer les responsables de centres d'appels en matière de ressources humaines ? » Question 2 : « Quels sont les profils qui se font aujourd'hui les plus rares ? Et pourquoi ? » Question 3 : « Quels supports de communication, quelles méthodes et quels types de partenaires privilégiez-vous pour vos actions et campagnes de recrutement ? Quel budget y allouez-vous ? » Question 4 : « Comment, selon vous, les problématiques de recrutement vont-elles évoluer dans l'avenir ? »
En savoir plus sur www.centres-appels.com
Dans la rubrique "Découvrez nos archives" : - L'intérim dépassé par la pénurie de téléacteurs.