Teletech s'inscrit dans une démarche qualité
Depuis un an, Teletech International s'est engagé dans une démarche
qualité. Simona Cuneo, est ainsi chargée de définir et de mettre en œuvre la
démarche qualité de ses six centres de contacts français. Cette volonté répond
d'abord à un constat : si l'on veut rester compétitif, il s'agit de privilégier
la qualité du service, proposée aux donneurs d'ordres sans augmenter ses coûts.
« Nous construisons des partenariats de long terme avec nos clients, ce qui
nous semble être la première garantie de relations commerciales mutuellement
bénéfiques », avance Simona Cunéo. C'est pourquoi, elle se montre très
intéressée par la certification de service Afnor, NF 345. « C'est un moyen de
formaliser notre propre démarche. Nous allons l'étudier avec attention. »
Simona Cunéo travaille de manière transversale, avec l'ensemble des
départements de Teletech International. Pour elle, au-delà des indicateurs
quantitatifs, tels l'accessibilité au service pour le consommateur ou le temps
de décroché (moins de dix secondes), il importe de valoriser des critères
qualitatifs. « Tout l'enjeu porte sur le juste équilibre entre critères
qualitatifs et quantitatifs. Cela peut sembler contradictoire. Mais il faut
tout mettre en œuvre pour que la qualité soit au service du quantitatif et
inversement. C'est pourquoi, nous mesurons aussi la capacité relationnelle de
nos conseillers clients, leur capacité à gérer les situations difficiles »,
affirme Simona Cunéo. Pour cela, la responsable qualité de Teletech
International affirme favoriser la montée en compétences des téléconseillers. «
Nous développons et gérons les bases de connaissances métier pour nos clients
via un outil, Dynamic Knowledgement Management. Cette stratégie a un double
avantage : s'affranchir de niveaux de compétences élevés en phase de
recrutement et, accompagner dans les meilleures conditions les montées en
compétences de nos équipes. » Cette stratégie est réalisée en partenariat avec
les institutions représentatives du personnel qui, dit-elle, participent à la
réflexion sur la mise en place des indicateurs de performance. Surtout, leur
choix de s'implanter dans des zones à la limite de petits centres urbains, “en
zone rurale”, leur permet de se prévaloir d'un taux de turn-over de seulement
5 %.